Florestal Bigues n’est pas un militant. Ce n’est pas un leader. Ce n’est même pas un homme politique raté. C’est un maître-chanteur, un opportuniste sans colonne vertébrale, un imposteur habillé en patriote. Un cancer numérique qui se nourrit de chaos, de diffamation et de buzz toxique.
Il ne lutte pas pour la vérité, il négocie avec le mensonge.
Florestal utilise la misère comme carte de visite, le chantage comme stratégie, et les réseaux sociaux comme arme de destruction ciblée. Son principal outil ? Le compte X @Skandallakay, une plateforme qu’il transforme en tribunal illégal pour salir tous ceux qui refusent de se soumettre à ses caprices. Il n’attaque pas les corrompus. Il attaque ceux qui refusent de lui glisser une enveloppe. Il ne dénonce pas le système. Il fait son marché dans le système. Et quand on ne paie pas, il balance des “dossiers”, des menaces, des fake news, des vocaux montés sur mesure pour créer le scandale du jour.
Mais attention : Florestal Bigues n’est pas seul. Il est le produit d’une complicité silencieuse. Certains DG, certains ministres, qui cèdent sous pression, qui lui donnent de l’argent, des faveurs, des postes pour “acheter la paix”, ont nourri ce monstre. Ce sont eux qui lui ont donné du pouvoir. Aujourd’hui, il croit qu’il peut faire et défaire des carrières. Il se prend pour un faiseur de roi alors qu’il n’est qu’un bouffon en quête d’une scène.
Rappelons les faits :
Il a menti au DG du BMPAD pour un chèque de 100 000 gourdes, évoquant une mère malade. Puis il est revenu demander une maison. Ensuite un poste. Et quand il a été refusé, il s’est vengé publiquement. Un comportement de racketteur, pas de citoyen.
Il a tenté de soutirer 3 millions de gourdes et 12 postes au DG de l’OAVCT. Face au refus ? Campagne de salissure immédiate. Deux assignations en justice déjà. Et lui continue, comme si la loi n’existait pas.
Aujourd’hui, il attaque le président du CPT, le PM Didier Fils-Aimé, la directrice de la Caisse d’Assistance Sociale. Pourquoi ? Parce qu’ils refusent de “payer le silence”. Pendant ce temps, il se fait le perroquet de certains hauts placés qui lui assurent protection tant qu’il leur lèche les bottes.
Florestal Bigues n’est pas un danger pour les puissants. Il est un danger pour la vérité.
Il banalise la vraie lutte, il affaiblit les vrais militants, il salit la vraie presse.
Il est temps que ça s’arrête.