Les syndicats de transport en commun ont annoncé pour la semaine prochaine deux journées de grève pour exprimer leur ras-le-bol contre la recrudescence des actes de banditisme et de kidnapping en particulier.
L’insécurité prend le large. Chaque jour apporte son lot de victimes et d’indignés. Face à ce climat délétère, les syndicats de transport en commun qui sont également victimes ont lancé un appel à la grève générale lundi et mardi prochain (1er et 2 février 2021) pour exprimer leur colère, leur frustration contre la détérioration du climat sécuritaire, lequel a provoqué une peur bleue au sein de la population qui souffre déjà de tous les maux.
Les initiateurs de ce mouvement ont, par ailleurs, invité d’autres groupes de la société à se joindre à eux afin que cette initiative soit une réussite. Ce faisant, un signal clair sera envoyé aux autorités compétentes pour qu’elles puissent agir en conséquence.
Les élèves et des organisations de la société civile, entre autres, ont déja marché contre l’insécurité. En guise de réponse, le président Jovenel Moïse a annoncé la mise en place d’un task force pour tenter d’apporter des solutions à ce dilemme.
