À travers une note vocale devenue virale depuis ce matin, le puissant chef de gang “Kraze baryè”, Vitel’homme Innocent déclare ouvertement la guerre à la Police. Il se dit prêt à combattre jusqu’à son dernier soupir. Parallèlement, il invite toutes les personnes qui ne sont pas membres de son équipe à quitter sans délai toutes les zones qui se trouvent sous sa juridiction.
La question du gangstérisme en Haïti prend une proportion extraordinaire. À ce stade, ce ne sont pas les circonstances qui obligent les populations à se déplacer pour sauver leur peau. Au contraire, ce sont les chefs de gangs, qui suivant leur audace, leur en a intimer cet ordre. C’est le cas de Vitelhomme Innocent qui enjoint les populations de Belleville, Torcel, Tabarre, Route frère et toutes les zones qu’ils occupent à déguerpir.
Son message est claire. Il veut livrer une bataille sanglante à la Police Nationale d’Haïti (PNH). En vue d’éviter, dit-il, un bain de sang, toutes les personnes qui ne sont pas membres de son gang doivent fuir ces zones. Il s’en prendra aux entreprises qui n’ont pas fermé leurs portes et à n’importe quel véhicule qui emprunte, précise-t-il ses territoires. ” À la guerre comme à la guerre”, a déclaré celui qui se croit intrépide égratignant au passage le journaliste, Thériel Thélus contre qui, il n’a pas caché sa dent.
Le notoire chef de gang en profite pour qualifier de lâches et de corrompus les hauts gradés de la PNH. Il menace de faire circuler des audios dans lesquels des gens de la chaine de commandement de la Police négociaient avec lui. Selon Vitelhomme, ceux qui mettent à prix sa tête ont l’habitude de le rencontrer pour négocier. Il fait, au passage un appel au bon sens des policiers qui exécutent les ordres de ceux qui planifient leur mort. ” Lè minisyon yo ap antre m konnen anvan nou. Yo annik triye kèk grenn ba nou”, a déclaré le chef terroriste d’un ton ridiculisant.
Le chef de “Kraze Baryè” assimile à un mascarade ce que la Police appelaitVitelhomme Innocent annonce la couleur et invite la population à quitter les zones qu’il occupe
À travers une note vocale devenue virale depuis ce matin, le puissant Chef de gang “Kraze baryè”, Vitelhomme Innocent déclare ouvertement la guerre à la Police. Il se dit prêt à combattre jusqu’à son dernier soupir. Parallèlement il invite toutes les personnes qui ne sont pas membres de son équipe à quitter sans délai toutes les zones qui se trouvent sous sa juridiction.
La question du gangstérisme en Haïti prend une proportion extraordinaire. À ce stade, ce ne sont pas les circonstances qui obligent les populations à se déplacer pour sauver leur peau. Au contraire, ce sont les Chefs de gangs, suivant leurs audaces qui leur intiment cet ordre. C’est le cas de Vitelhomme Innocent qui enjoint les populations de Belleville, Torcel, Tabarre, Route frère et toutes les zones qu’ils occupent à se déguerpir.
Son message est claire. Il veut livrer une bataille sanglante à la Police nationale d’Haïti (PNH). En vue d’éviter, dit-il, un bain de sang, toutes les personnes qui ne sont pas membres de son gang doivent fuir ces zones. Il s’emprendra aux entreprises qui n’ont pas fermé leurs portes et à n’importe quel véhicule qui emprunte, précise-t-il ses territoires. ” À la guerre comme à la guerre”, a déclaré celui qui se croit intrépide égratignant au passage le journaliste, Thériel Thélus contre qui, il n’a pas caché sa dent.
Le notoire Chef de gang en profite pour qualifier de lâches et de corrompus les hauts gradés de la PNH. Il menace de faire circuler des audio dans lesquels des gens de la chaine de commandement de la Police négociaient avec lui. Selon Vitelhomme, ceux qui mettent à prix sa tête ont l’habitude de lui rencontrer pour négocier. Il fait, au passage un appel au bon sens des policiers qui exécutent les ordres de ceux qui planifient leur mort. ” Lè minisyon yo ap antre m konnen anvan nou. Yo annik triye kèk grenn ba nou”, a déclaré le chef terroriste d’un ton ridiculisant.
Le Chef de “Kraze Baryè” assimile à une mascarade ce que la Police appelait opération qu’il a mené le week-end dernier. Il le dit à qui veut l’entendre que la police ne peut pas le tuer. Si un jour il décède, il sera valablement remplacé.