L’opération à Village de Dieu a été très bien planifiée dixit Léon Charles

Alors que l’inspecteur général chargé de la direction de renseignement au niveau de la PNH, Carl-Henry Boucher, placé en isolement avait évoqué un problème de coordination criant dans la planification de l’opération, le DG mis en cause, précise le contraire. ” Je ne sais pas comment une opération si bien préparée accuse un si mauvais résultat”, se questionne Léon Charles.

Le directeur a.i de la PNH, Léon Charles ne veut toujours pas se responsabiliser dans l’échec de l’opération policiète du 12 mars 2021. Selon lui, une opération si minutieusement préparée ne peut pas échouer comme elle l’a été. Surement, il pense qu’il y a fortement des coupables sauf que lui, suivant son intention, est blanc comme neige.

L’inspecteur Boucher a ouvertement accusé le DG qui aurait pris la decision de faire pénétrer le village sans que cela n’a pas été prévu d’ailleurs les perimètres extérieurs étaient difficiles à boucler. Malgré cette accusation, le DG n’en démord pas. Il est innoncent et à ce titre il est de son droit et de son devoir de trouver les responsables de cet échec.

Les chiens aboient la caravanne passe. C’est en fait la position affichée par Léon Charles qui invite les policiers à regagner leur base laissant l’IGPNH continuer son travail. Concernant les corps des policiers, M. Charles informe que l’institution ne va pas ménager ses efforts pour les retrouver.

Le DG a par ailleurs démenti l’information faisant croire qu’il a negocié pour le blindé. “Nous avons été informé de l’abandon du char et au parfum du danger que cet engin représentait pour la population nous avons pris toutes les mesures sécuritaires pour aller le recupérer”, soutient-il annoncant que d’autres opérations seront menées au village en veillant à ne pas commettre les mêmes erreurs.

Parallèlement le numéro un de la PNH a été très acerbe contre les fantoms 509. Selon le DG, la population a craché sur les brutales pratiques de ce groupe dont l’évènement du 17 mars a levé leurs masques.