Controverse autour de l’attaque armée visant L’ex-Sénateur Joseph Lambert

Les opinions pleuvent sur l’incident impliquant L’ex-Sénateur du Sud-est, Joseph Lambert, sa voiture et des hommes armés opérant au bicentenaire. Il s’agirait d’un coup monté du sénateur dont le mandat allait expirer dans moins de 24 heures, opine plus d’un qui accorde peu d’importance à la version que M. Lambert serait échappé de justesse à une tentative d’enlévement.

La nouvelle s’est répandue sur les réseaux sociaux comme une trainée de poudre, le dimanche 8 janvier 2023, soit moins de 24 heures de temps avant la fin du mandat constitutionnel du dernier tiers du Sénat qui péinait à exister. Les premières informations qui faisaient croire que désormais, l’ex-Président du Sénat amputé de deux tiers, Joseph Lambert avait subi une attaque armée au bicentenaire et s’est fait gravement blesser, fait l’objet de controverse. L’opinion publique y voit un coup monté de l’élu du Sud-Est récemment sanctionné par le Canada pour son support aux gangs armés.

Une bande sonore devenue virale a tout fait basculer. Selon l’orateur qui se présente comme un policier, l’incident s’est produit à cause de l’obstination du parlementaire à suivre la voie pourtant déconseillée par ces gardes du corps qui lui mène tout droit aux gangs qui contrôlent le long du bicentenaire. Voyant de loin les civils armés, l’homme politique a fait passer du temps avant d’engager la marche arrière comme l’avait demandé ceux qui assuraient sa sécurité. Pris dans l’étau des civils armés, le sénateur s’est enfuit de sa voiture blindé empêchant du coup aux policiers qui l’accompagnaient de riposter pour le couvrir. Contrairement aux graves blessures par balles que rapportent certaines organes d’information, M. Lambert s’en est sorti indem et a eu le temps de prendre une motocyclette en compagnie de son collègue qui l’accompagnait, rapporte la source.

Les gens armés ont pris à leur tour la voiture peu de temps après que les policiers se sont désengagés. Une scène assimilée à un acte prémédité de l’ancien sénateur de donner volontairement la voiture à ces gangs avec lesquels, selon le Canada, il aurait des relations. Il faut toutefois signaler que ce n’est pas pour la première fois que des hommes politiques auraient simuler des scènes aussi dégoûtantes en vue d’attirer sur eux les projecteurs. Seulement une enquête sérieuse aurait révélé les dessous de cette affaire.