Les violences des gangs armés ont de très graves conséquences sur le fonctionnement des écoles notamment dans la région métropolitaine de Port-au-Prince où près de 500000 enfants sont privés du pain de l’instruction a affirmé le Fonds des Nations-Unies pour l’Enfance (UNICEF-Haiti).
Le département de l’ouest héberge le plus grand nombre de groupes armés du pays. Parmi les conséquences directes : 500000 enfants de tranches d’âges différentes n’ont pas pu reprendre le chemin de l’école selon les données publiées par les responsables de l’organisme onusien : UNICEF- Haïti.
Plus loin, les responsables de cette organisation non gouvernementale ont plaidé en faveur de la mise en place d’une nouvelle politique sécuritaire, laquelle permettant de créer un climat propice pouvant faciliter la réouverture totale des écoles publiques et privées sur le territoire national.
La réouverture des classes se fait toujours attendre, alors que nous sommes au mois de décembre. Le Ministre de l’Education Nationale et de Formation Professionnelle (MENFP) Nesmy MANIGAT a annoncé à maintes reprises la réouverture