l’Assassinat du président : Pire châtiment infligé au pays

L’ex premier ministre haïtien, Joseph Jouthe condamne avec rigueur l’assassinat du chef de l’État, Jovenel Moïse. L’ancien chef de gouvernement présente ses mots de réconforts à la famille présidentielle tout en soulignant que ce crime sans pareil causé à l’encontre du président est l’ultime peine que les ennemis de la nation et les fervents partisans du chaos pouvaient infligés à la nation.

La nouvelle a ravagé l’ex premier ministre Jouthe. Ceux qui ont commis ce crime inhumain sont les ennemis de la nation, les fervents partisans du Chaos. Bref, des rétrogrades sanguinaires. Ils ont infligé à la nation, aux oubliés de l’État, le pire des chatiments, opine l’ancien chef du CSPN.

Selon Joseph Jouthe, attenté à la vie d’un président en fonction jusqu’à l’atteindre mortellement ne doit aucunement rester impuni. En ce sens, il dit attendre avec impatience que les auteurs et complices de ce crime crapuleux soient identifiés et punis conformement à la loi. Celui qui a dirigé le gouvernement pendant plusieurs mois dit penser que le pays mérite un strict minimum. Il est temps que la justice et la police nationale d’Haïti soient opérationnelles et efficaces, a-t-il écrit.

Il en a profité pour renouveler ses sympathies à la famille Moïse dont sa femme blessée et hospitalisée en Floride.