Le gang américain et ses impositions pour être président d’Haïti : une journaliste américaine dévoile le complot !

Parmi les conditions non écrites posées par les États-Unis pour que l’on devienne chef d’État ou chef de gouvernement haïtien, Ariel Henry, vient de violer une. Le kidnapping des américains est l’interdit majeur des dix conditions issus de la vie noire américaine.

De plus en plus, la population haïtienne est en train de prendre conscience du complot américain contre Haïti. Si depuis des siècles, les américains ont placé en toute discrétion, des embûches au développement de la première nation nègre indépendante du monde, à travers cette crise qui sévit pour l’heure dans le pays, des américains, et pas des moindres, commencent à faire fondre l’iceberg. Après Daniel Foote c’est au tour de cette journaliste américaine, Amy Wilentz, rédactrice en chef du journal ” The nation”, de briser la glace.

L’ancien envoyé spécial américain pour Haïti Daniel Foote avait mis à nu ce complot (forme d’une mafia américaine) contre la nation haitienne. Démissionné dans un contexte assez difficile, M. Foote a révélé avec fracas l’implication américaine dans le sous developpement haitien et la misère actuelle du peuple. Il avait évoqué le role des États-Unis dans la réalisation des élections truquées dans le pays et l’imposition des chefs d’états. Une révélation renforcée par la journaliste qui présente les 10 conditions sournoises imposées par les États unis pour être président ou premier ministre en Haiti.

Selon la journaliste, les personnages qui aspirent à occuper ces postes précités doivent se garder de ne pas s’interférer dans les affaires de certains vieux amis de l’ambassade américaine quelle que soit la corruption dans laquelle ils sont impliqués (douanes, ports, énergies, communications, drogue, banques etc.). Les concernés doivent savoir qu’ils sont des figurants et que ce sont ces corrompus qui dirigent le pays.

Les USA accordent le champs libre aux politiciens. Ils leur donnent l’assurance de pouvoir tout faire. Ils peuvent voler, laisser ses amis voler. Ils peuvent assassiner, laisser ces vieux amis assassiner. Ils peuvent massacrer moyennant qu’ils les font tranquillement et franchement. Ils peuvent avoir des millions de dollars de sources inconnues entassés chez eux moyennant qu’ils ne s’immiscent pas dans les affaires des vieux amis de l’ambassade.

La journaliste précise que les américains garantissent aux leaders que la population est une affaire reglée. Il n’aura pas à s’en inquiéter. Au besoin, ils peuvent former leurs gangs, détruire les institutions démocratiques et toutes les forces de l’ordre par l’usure, le licenciement et la corruption. Cependant, ils les interdisent de laisser aux gangs de kidnapper des américains blancs.

Ils les interdisent aussi de laisser les haitiens fuir le pays. Dans le cas contraire, ils prennent l’engagement de les aider à les arrêter et le cas échéant, les retourner vers le pays. Par contre, ils les informent à ces dirigeants sans langue de bois qu’ils ne sont pas indépendants et doivent s’assurer que certaines vies noires américaines compte. En fin de compte, les gangs ont kidnappés des américains, il y a environ huit jours. Une violation de l’un des principes.