Des articles vont être modifiés au sein du très controversé décret présidentiel portant la création, l’organisation et fonctionnement de l’Agence nationale d’intelligence (ANI) a annoncé Guichard Doré.
Paru dans les colonnes du journal officiel du pays «LE MONITEUR», le 26 septembre 2020, le décret créant l’Agence nationale d’intelligence (ANI) a suscité toute une panoplie de réactions au sein de la société, en dépit des explications apportées par le président de la République lors de sa visite dans le département du Nord ’est.
Devant cet arsenal de critiques tout aussi différentes que sérieux l’exécutif semble finalement fléchir. C’était évident. D’ailleurs, le chef de l’Etat n’a aucun intérêt de tirer sur la corde et de se fragiliser davantage à quelques semaines du 7 février 2021, une date qui annonce déjà la couleur si l’on croit aux dires de l’opposition démocratiques et les autres partis affidés.
De plus, la communauté internationale, particulièrement l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique a clairement exprimé son désaccord à ce projet qui pourrait être la dernière goutte d’eau pouvant renverser la vase et qu’ils qualifient d’ailleurs d’érosion à la démocratie.
Et comme il fallait s’y attendre, l’un des grands conseillers du président de la République, Guichard Doré, annonce, le mercredi 15 décembre 2020 des changements au niveau de certains articles de ce décret.
« Il y aura des changements au niveau de certains articles du décret a annoncé le conseiller présidentiel qui n’a pas voulu faire mention des articles qui sont concernés par cette démarche, précisant par ailleurs que la tâche est confié à l’Office de la protection du citoyen (OPC).
A rappeler que le numéro un de la nation avait lors de sa récente déclaration promis d’assumer sa position. Renald Lubérice, de son coté, disait : Point de leçon à recevoir. Mais, qu’est-ce qui est la base de cette décision ? Pour le moment, seul le pouvoir exécutif détient la réponse.
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