L’accord signé le 21 décembre dernier entre le premier ministre de facto, Ariel Henry, et une parterre d’hommes politiques proches du PHTK n’a pas étanché la soif de la communauté internationale qui semble avoir ses réserves et ses doutes, selon plusieurs sources diplomatiques.
Les fruits n’ont pas tenu la promesse des fleurs. Quelques acteurs politiques tous ou presque proches du régime au pouvoir ont paraphé, le 21 décembre 2022 un accord avec le PM de facto, Ariel HENRY, qui pourtant avait promis à la communauté internationale un large consensus.
Selon ce qu’a rapporté d’autres sources la communauté internationale est très sceptique après la signature de ce document. Elle aurait exprimé ses réserves et ses doutes sur la capacité du PM à résoudre cette crise.
Plusieurs structures et organisations politiques nont pas signé ce document. Certains ont rejeté catégoriquement cette idée, d’autres sont restés accrochés à l’accord de MONTANA. En dépit des problèmes structurels et conjoncturels, le PM a déclaré haut et fort que l’année 2023 sera une année électorale.